Venez nous rencontrer à l’Assemblée nationale le 24 janvier pour parler mixité sociale à l’école !

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Le Collectif Apprendre Ensemble participe à une table ronde sur la mixité sociale à l’école le 24 janvier 2024 de 17h à 19h à l’assemblée nationale !

Suite à la parution du rapport “Pour une école du Nous, vivre l’altérité à l’école, le pari gagnant d’une Nation” par la Fondation Jean Jaurès en septembre dernier, Céline Calvez, députée des Hauts de Seine vous invite à l’événement « De l’empathie à la mixité sociale, apprendre l’altérité à l’école » en partenariat avec La Fabrique du Nous et la Fondation Jean Jaurès.

L’événement aura lieu en Salle Colbert, au 126 rue de l’Université 75007 Paris.

L’inscription est gratuite mais obligatoire avant le 16 janvier !

S’INSCRIRE ICI
DÉCOUVREZ LE PROGRAMME DÉTAILLÉ ICI

🤝 Merci à Céline Calvez, Cathy Racon Bouzon , Tarik Ghezali et la Fondation Jean Jaurès pour cette belle opportunité de mobiliser de nombreux acteurs sur ce sujet essentiel en ces temps où d'autres cultivent la division : les richesses de l'altérité.

Appel à un mouvement unitaire pour sauver l’école publique

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école en danger

L’article de Djéhanne Gani paru sur le site du Café pédagogique que nous partageons ci-dessous résume exactement tout ce que notre collectif dénonce depuis quelques années.

Nous, et nos enfants, payons aujourd’hui très cher la politique menée par le gouvernement actuel qui favorise clairement le secteur privé au détriment du public. Cela s’apparente pour nous à un détournement des fonds publics, puisque cette politique s’exerce grâce aux impôts que nous payons.

Avec les fermetures de classes annoncées en masse à Paris, particulièrement dans l’éducation prioritaire, et le “pacte” qui rend les conditions de travail des enseignants encore plus difficiles, cette politique de casse du service public de l’éducation nationale s’accentue encore.

Nous soutenons tous les collectifs de parents qui luttent contre les fermetures de classes, les enseignants qui tentent de défendre leur profession et d’obtenir une véritable revalorisation et nous rejoignons la FCPE Paris dans son appel à un mouvement unitaire pour défendre l’éducation nationale publique et l’École de la République.

Réseau scolaire commun : Le Québec n’est pas seul !

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C’est avec beaucoup de bonheur et d’espoir que nous avons suivi de nos pays respectifs le lancement du Plan pour un réseau scolaire commun au Québec.

Amis Québécois, nous vous le disons d’emblée : nous n’avons pas de leçons à vous donner !
Nous avons chez nous de graves problèmes d’équité en éducation. Comme chez vous, ce sont surtout les familles les plus aisées et les plus éduquées qui ont accès aux « bonnes écoles » ou aux programmes spéciaux. On donne plus à ceux qui ont déjà plus. Et comme chez vous, la sélection à l’entrée – qui fait déjà obstacle à la cohésion sociale – creuse encore les écarts en concentrant les élèves ayant de graves difficultés scolaires ou en décrochage.

Le réseau commun qui a été mis au jeu démocratique chez vous semble comporter de grands avantages. L’idée de bien distinguer les écoles privées qui sont d’intérêt public de celles qui ne le sont pas (et bien sûr d’ajuster le financement public en conséquence) nous semble aller dans la bonne direction. 

Financer publiquement des écoles privées, mais sans leur donner les mêmes responsabilités que les écoles publiques est un non-sens. C’est la main droite qui ignore ce que fait la main gauche.

Les bassins scolaires optimisés semblent être une manière innovante de permettre d’aller à une école de proximité tout en évitant de reproduire à l’école les inégalités socio-économiques résidentielles. Et cette idée de parcours particuliers gratuits pour tous les élèves  est formidable. Nous mesurons facilement tous les avantages que peut procurer cette idée, autant pour les enseignants qui auront l’occasion de transmettre leurs passions que pour les quartiers et villes qui pourront contribuer au bien-être des enfants. Des écoles ouvertes sur leur monde en somme.

Bien sûr c’est à vous et à vos élus de décider si le réseau commun est la voie d’avenir de votre système scolaire. Mais sachez que de Paris à Barcelone, nous suivrons avec intérêt vos débats sur cet enjeu fondamental qu’est l’équité. Le Québec n’est pas seul : nos sociétés cherchent aussi à faire concorder leurs valeurs démocratiques et leur système d’éducation.

Message commun de soutien signé par :
Appel pour une école démocratique (Belgique)
Collectif Apprendre Ensemble (France)
Col·lectiu d’escoles contra la segregació (Catalogne)
Private Education Policy Forum (Grande-Bretagne)

L’école républicaine : laminée par Macron… achevée par Le Pen ?

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Du mépris total à l’égard des enseignants et de tous les partenaires de la communauté éducative, de la confiscation du budget de l’école publique au profit du privé, de l’excellence et de l’exception érigés en seuls sujets dignes d’intérêt, jusqu’à la réforme du bac, on pensait l’école républicaine déjà assez malmenée par le gouvernement Macron et son ministre de l’Education Nationale.

C’était sans compter le programme de Marine Le Pen…

Au second tour des élections présidentielles, le 24 avril, c’est clairement la destruction de l’école de la République qui est programmée par le RN.

“Refonte” des programmes (en particulier ceux d’Histoire, évidemment), contrôle total et permanent érigé comme modèle relationnel envers le corps enseignant, mais également des élèves et de leurs familles – et tout particulièrement si ces familles n’ont pas la langue française comme seule langue maternelle. 

Fantasme égalitaire via l’uniforme imposé, retour du brevet d’études comme seul diplôme accessible pour les plus fragiles, orientation vers l’apprentissage ou les filières professionnelles dès 12 ans : l’idée principale est bien d’écrémer les élèves afin que seul-e-s les “meilleur-e-s” (selon le RN) arrivent jusqu’au bac.

Mais il faut être bien conscients que derrière cette soi-disant volonté de restaurer l’autorité, on veut moins d’élèves au collège et au lycée et donc moins d’enseignants : il s’agit donc, en réalité de faire des économies budgétaires sur le dos des élèves – de nos enfants – de celles et ceux qui construiront la société de demain.

Pour l’école publique, le programme de Marine Le Pen nous promet un bon en arrière dans les années 30. On vous laisse découvrir ce programme rance, si vous en avez le courage…

Tout cela nous donne juste envie de vomir : on espère que vous êtes nombreux dans ce cas !

Le séparatisme, ça commence à l’école

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Le CAE propose un amendement au Projet de loi confortant le respect des principes de la République pour mettre fin à la ségrégation sociale et scolaire dans les établissements scolaires.

COMMUNIQUÉ DE PRESSE


Le Collectif Apprendre Ensemble propose un amendement au Projet de loi confortant le respect des principes de la République pour mettre fin à la ségrégation sociale et scolaire dans les établissements scolaires.

Les règles du vivre ensemble et de la République doivent être apprises, acquises, pratiquées et respectées à l’école. C’est l’un des premiers lieux où l’enfant doit pouvoir découvrir et accepter la diversité, les différences dans l’égalité, l’inclusion dans la fraternité, la liberté de penser différemment et de pouvoir l’exprimer dans le respect des principes républicains.

Or aujourd’hui, force est de constater que cette diversité sociale et culturelle est mise à mal dans un grand nombre d’établissements scolaires des métropoles françaises.

Si tout le monde s’accorde sur les méfaits des ghettos scolaires, seules des initiatives ou expérimentations locales ont été engagées pour y remédier ces dernières années. Certaines ont été menées avec succès, mais d’autres ont pu s’essouffler ou souffrir d’enjeux électoraux.

C’est pourquoi l’État doit maintenant engager sa responsabilité dans des mesures d’envergure et à l’échelle nationale pour mettre fin à ce séparatisme scolaire, tout en offrant des outils de régulation efficaces aux élus locaux.

L’examen du Projet de loi confortant le respect des principes de la République offre le cadre idéal pour agir en ce sens.

Pour qu’en France, le libre choix des uns ne soit plus synonyme de ségrégation sociale et scolaire pour les autres, le Collectif Apprendre Ensemble propose d’agir simultanément sur différents leviers : sectorisation des établissements, affectation des élèves dans le public et le privé sous contrat, répartition des options attractives entre établissements et contrôle de la domiciliation des familles pour lutter contre le contournement scolaire.

Le Collectif Apprendre Ensemble a porté ce projet d’amendement à la connaissance de députés de différents partis afin qu’ils le défendent et le portent devant l’Assemblée nationale.

Lire notre tribune sur Médiapart :

Le séparatisme, ça commence à l’école {www} 


Contacts

06 62 45 43 62
contact[at]collectif-apprendre-ensemble
https://www.facebook.com/collectif.apprendre.ensemble
https://twitter.com/apprendre_ensem

Rencontre avec les parents des écoles et collèges du 18e

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Chères adhérentes et adhérents,
Chers sympathisants,
Chers parents du 18e arrondissement

Le Collectif Apprendre Ensemble vous invite à venir échanger avec les parents et enfants des écoles et collèges du 18e

Dimanche 20 septembre 2020
de 13h à 15h au Bar commun

135, rue des Poissonniers 75018 Paris

L’école, c’est encore mieux quand on se connaît !

Vous vous posez des questions sur une école ou un collège du 18e arrondissement ? Vous aimeriez échanger avec d’autres parents à propos de ces établissements ?

Le Collectif Apprendre Ensemble est composé de parents des écoles et collèges publics du 18e, heureux d’échanger avec d’autres parents et d’agir pour les enfants et les établissements de leur quartier.

Au plaisir de vous y retrouver !

Invitation à l’Assemblée Générale 2020 du Collectif Apprendre Ensemble

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Chères adhérentes et adhérents,
Chers sympathisants,

 Le Collectif Apprendre Ensemble vous invite à son assemblée générale annuelle 
Dimanche 28 juin 2020
de 10h à 12h

Cette année, en raison des conditions sanitaires liées à la crise du Covid19, et pour épargner les plus fragiles d’entre vous et d’entre nous, l’assemblée générale se tiendra en webconférence : les adhérents ayant réglé leur cotisation 2020-2021 (cf. ci-dessous) seront invités via un message dédié à y participer.

Seuls les membres du bureau pourront – pour ceux qui le souhaitent – se réunir au 133 rue Damrémont, Paris 18e.

Adhésion 2020-2021

Conformément aux statuts de l’association, tous les adhérents peuvent assister à l’Assemblée générale ordinaire, mais seuls les adhérents ayant leur cotisation à jour y disposent d’un droit de vote…
Nous vous engageons donc à renouveler votre cotisation ou à nous rejoindre en adhérant en ligne dès à présent sur Hello Asso ! 

Propulsé par HelloAsso

L’ordre du jour de cette assemblée générale ordinaire sera le suivant : 

  1. Approbation du procès-verbal de l’assemblée générale ordinaire du 29 juin 2019
  2. Présentation du rapport moral de l’association pour 2019-2020
  3. Présentation de la gestion de l’association et approbation des comptes annuels 2019-2020
  4. Présentation des projets 2020-2021 de l’association et discussion ouverte  
  5. Renouvellement des membres du bureau de l’association
  6. Questions diverses

Le présent message tient lieu de convocation pour l’ensemble des adhérents.

Pouvoir
Pour ceux qui ne pourraient être présents, vous pouvez établir un pouvoir (ou un mandat) à une tierce personne (de confiance évidemment 😀) qui sera présente. Vous pourrez trouver un modèle tout prêt à compléter, signer et à lui confier ici !

Pour toute question au sujet de l’organisation de cette assemblée générale, n’hésitez pas nous écrire à : contact@collectif-apprendre-ensemble.fr
Au plaisir de vous y retrouver !

Bilan annuel

En attendant l’AG, vous pouvez déjà Consulter le rapport d’activité & Bilan financier 2019-2020 du Collectif Apprendre Ensemble !
il sera bien sûr amendé si nécessaire à l’issue de ce rendez-vous…

Quatre associations de familles et d’enseignants s’unissent pour combattre la ségrégation scolaire

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Quatre associations d’enseignants et de familles d’élèves de Belgique, de Catalogne, de France et du Québec se sont réunies le mercredi 26 février à Bruxelles pour partager de l’information et proposer de nouvelles stratégies pour lutter contre la ségrégation scolaire, c’est-à-dire la séparation des élèves dans des écoles différentes en fonction du revenu de leurs parents ou de leurs résultats scolaires.

Les quatre organisations, l’Appel pour une école démocratique (Belgique), le Col·lectiu d’Escoles contra la Segregació (Catalogne), le Collectif Apprendre Ensemble (France) et le Mouvement L’École ensemble (Québec) ont constaté que les effets de la séparation des élèves sont néfastes dans chacune de leur société.

« Le thème du Forum, Défaire la ségrégation scolaire, fait allusion à notre volonté de vaincre ce mal social. Nous avons échangé à propos de nos réalités et de nos stratégies respectives », a déclaré Nico Hirtt de Appel pour une école démocratique.

« Il y a des constantes dans chacune de nos sociétés. Le choix scolaire favorise la séparation des enfants en fonction de la classe sociale de leurs parents. Privé subventionné, réseau public parallèle, écoles à projets spéciaux : les moyens pour permettre aux familles économiquement et culturellement favorisées de ne pas scolariser leurs enfants avec ceux des familles défavorisées sont nombreux » a fait valoir Bernat Ferrer du Col·lectiu d’Escoles contra la Segregació.

« La ségrégation scolaire nuit aux résultats scolaires d’ensemble et menace la cohésion sociale. C’est vrai dans chacune de nos sociétés. Le phénomène a longtemps été dans l’angle mort des citoyens et des élus. À nous de nommer le problème et de proposer des solutions », a déclaré Catherine Defrance du Collectif Apprendre Ensemble.

« Ces échanges internationaux nourrissent notre action. Il y a une volonté commune d’organiser un second forum en 2021. D’autres associations pour l’équité en éducation y seraient invitées, mais également des élus et des chercheurs » a conclu Stéphane Vigneault du Mouvement L’école ensemble.

Les participants au Forum ont pu assister à une présentation de Delphine Dorsi de l’organisme Right To Education Initiative sur les Principes d’Abidjan. Ces Principes ont été adoptés en février 2019 par plus de 50 experts reconnus à travers le monde. Ils permettent d’établir les responsabilités des États quant au financement des écoles privées et l’accessibilité des écoles publiques.

Les participants à la réunion du 26 février 2020 à Bruxelles.
Les participants à la réunion du 26 février 2020 à Bruxelles.

Le CAE participe au premier forum européen d’associations pour l’équité en éducation

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La semaine prochaine, le Collectif Aprendre Ensemble débattra #ségrégation scolaire à Bruxelles avec le Mouvement L’école ensemble , Escoles contra la Segregació et l’Appel pour une école démocratique (Aped).

Pour la première fois, des associations belge, française, québécoise et espagnole luttant pour l’équité dans l’éducation tiennent un forum commun pour partager leurs expériences et leurs stratégies !

Contacts presse : contact[at]collectif-apprendre-ensemble.fr

MUNICIPALES 2020 : les 10 propositions du Collectif Apprendre Ensemble pour lutter contre la ségrégation sociale et scolaire

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Le système éducatif français figure parmi les pires au monde en matière de reproduction des inégalités sociales. La ville de Paris ne fait pas exception, souffrant même d’un niveau record de ségrégation scolaire.

Ce n’est pas une fatalité. Si notre système éducatif demeure national, de nombreux leviers permettant de combattre ce fléau peuvent être activés à l’échelle locale.

Les mairies d’arrondissement et la mairie centrale décident de la sectorisation et de l’affectation en premier cycle, de l’allocation des frais d’investissement et de fonctionnement des établissements, et enfin participent à la sectorisation et au financement des collèges.

En prenant ces pouvoirs comme point de départ, nous avons identifié dix initiatives susceptibles d’enrayer ce phénomène néfaste et pouvant être lancées au lendemain des élections municipales. Nous appelons tous les candidats à la mairie à les adopter dans leur programme et à s’engager à les mettre en œuvre dans les plus brefs délais. 

Ces idées sont volontairement transpartisanes. L’heure est trop grave pour les querelles politiques. Notre adversaire à tous est la ségrégation scolaire. 

Pour le bien de nos quartiers, de notre ville et plus largement de la République, nos enfants doivent apprendre, grandir et rêver ensemble, pas séparément. 

Nos 10 propositions


1

Mettre la lutte contre la ségrégation sociale et scolaire au cœur du projet éducatif de la municipalité et des missions de l’équipe municipale. Évaluer chaque année les progrès réalisés pour atteindre cet objectif grâce à des indicateurs communs.

2

Réaliser et rendre publique une cartographie précise des zones fortement ségréguées à partir des données de l’académie et des territoires concernés :
– comparatif entre les compositions des secteurs et des établissements privés et publics 
– calcul des flux d’élèves intra et inter établissements 
– mesure de l’évitement public-public et public-privé.

3

À partir de ce diagnostic précis, établir un plan d’action réellement adapté à chaque zone. Rendre public ce plan d’action détaillé et les indicateurs de suivi correspondants.

4

Mettre en oeuvre dès la première année du mandat le plan d’action établi, en y affectant les moyens humains et financiers nécessaires et en s’inspirant des actions et dispositifs déjà engagés en France ou ailleurs (modification de la carte scolaire pour redessiner et rééquilibrer la sectorisation, secteurs multi-établissements, fermeture et ou construction d’établissements)1 .

5

Mettre en place une instance tripartite au sein de l’équipe municipale – mairie / rectorat / représentants de parents d’élèves élus – chargée du suivi de la mise en oeuvre du plan d’action et habilitée à prendre des décisions nécessaires pour sa réalisation. Cette instance devra établir annuellement et rendre public l’état d’avancement du plan d’action détaillé et des indicateurs associés.

6

Inclure les établissements privés du secteur dans la cartographie et le plan d’action, de manière à assurer leur contribution à la lutte contre les ségrégations scolaire et sociale. Ceci pour mettre fin à la discrimination et la sélection des élèves pratiquées par certains établissements malgré la loi.

7

Engager une politique ambitieuse d’activités périscolaires dans les établissements les plus défavorisés de manière à les rendre plus attractifs, en leur attribuant :
– des moyens supplémentaires
– en priorité les personnels les plus qualifiés
– la priorité dans le choix des associations habilitées à intervenir après avoir répondu à un appel d’offre.

8

Réorganiser le fonctionnement des services municipaux chargés de l’entretien et de la rénovation des bâtiments scolaires :
– de manière à ce que l’ensemble des travaux puissent être réalisés dans des délais cadrés, en respectant les obligations réglementaires et la sécurité des élèves
– en assurant un suivi en temps réel de toutes les demandes déposées par les directions des établissements.

9

Engager une politique de valorisation des établissements d’enseignement publics en créant un nouveau poste dédié, qui serait chargé : 
– d’accompagner les établissements dans leur communication interne et externe : sites web, blogs, réseaux sociaux, affichage
– de créer et alimenter une plate-forme municipale relayant toutes les bonnes pratiques et initiatives prises au sein des établissements, pour que les équipes pédagogiques, parents et élèves puissent s’en inspirer
– d’organiser un forum annuel des écoles et collèges publics au sein de la mairie d’arrondissement
Ceci pour informer les parents et futurs parents des activités et des projets réalisés.

10

Réunir au moins 3 fois par an l’équipe municipale, des représentants des élèves, des parents et des équipes pédagogiques des établissements pour co-construire la politique publique éducative, afin de réaliser des projets utiles et souhaités par tous. Ceci en complément de la présence requise des représentants de la municipalité au sein des conseils d’école ou d’établissements.

1 voir le recensement réalisé par l’Observatoire parisien de la mixité et de la réussite éducative (OPMIRE) lors du colloque du 17 mai 2019 à Paris.